Il y a mille façons de tenir notre enfant dans nos bras, et de lui dire que nous l’aimons.
Il n’y qu’une façon de dire à notre enfant qui est parti, c’est lui dire « je t’aime et tu me manques »
Il y a mille façons de jouer avec notre enfant, de chanter et de rire avec lui.
Il n’y a qu’une façon de penser que nous ne pourrons plus jouer, chanter et rire avec lui.
Il y a mille façons de regarder son enfant, son sourire, son visage et ses yeux pleins d’amour.
Il n’y a qu’une façon de regarder son enfant, au travers d’une photo, et de rêver de souvenirs.
Il y a mille façons de jouer avec son enfant dans sa chambre
Il n’y a qu’une façon de regarder une chambre pleine de jouets, mais… sans enfant
Il y a mille façons de préparer le sac d’école de son enfant
Il n’y a qu’une façon de regarder les affaires d’école de son enfant... sans lui
Il y a mille façons d’allumer les bougies d’anniversaire de son enfant
Il n’y a qu’une façon, d’allumer une bougie, devant la photo de son enfant.
Devant son enfant parti, il ne reste que souffrance et désespoir
Devant son enfant parti, il ne reste que solitude et amertume
Devant son enfant parti, tout prend des couleurs de gris et de noir
Devant son enfant parti, nous en voulons à la terre entière
Devant son enfant parti, une partie de nous-même nous a quitté
Devant son enfant parti, nous n’avons plus de goût à la vie.
Devant son enfant parti, nous ne voulons plus voir personne
Devant son enfant parti, la terre entière nous abandonne
Devant son enfant parti, nous sommes pris d’injustice
Devant son enfant parti, nous devions partir avant lui
Devant son enfant parti, nous en voulons à Dieu
Devant son enfant parti, il n’avait pas le droit de nous le prendre
Maintenant je réagis, je comprends ma souffrance et mon désespoir
Maintenant je réagis, je ne suis plus seul, il y a ma famille et mes amis.
Maintenant je réagis, les couleurs de l’arc en ciel comme à apparaîtrent
Maintenant je réagis, la terre entière n’est pas responsable de mon chagrin
Maintenant je réagis, mais je ne peux retrouver la partie qui m’a quitté
Maintenant je réagis, la vie renaît en moi, je reprends goût à la vie
Maintenant je réagis, j’ouvre ma porte, et je revois amis et famille
Maintenant je réagis, j’ouvre mes bras à la terre entière
Maintenant je réagis, en fait, il y a bien une justice
Maintenant je réagis, je comprends que mon enfant puisse partir avant moi
Maintenant je réagis, Dieu sait ce qu’il fait, il ne le fait pas pour que nous souffrions
Maintenant je réagis, Dieu ne reprend pas mon enfant, c’est mon enfant qui est parti
Il s’est passé longtemps, avant que ma souffrance s’atténue, elle n’est pas partie, mais maintenant, le fardeau est moins lourd à porter, je regarde la photo de mon enfant, je lui mets une bougie à chaque anniversaire de sa naissance et de sa mort.
La partie que je lui avais donnée à ma naissance est toujours avec lui, elle me manque moins, car je sais qu’elle est toujours en lui. J’ai souvent l’impression qu’il est encore là, derrière moi, et qu’il va me prendre les épaules, seulement il est parti, et cela ne se fera plus. Je sens sa présence, je sens son odeur, je sais qu’il est là, mais je ne peux le voir. Cela me rassure un peu, de le savoir prés de moi, mais cela n’enlève pas ma douleur, de savoir que je ne pourrais plus le toucher, sentir l’odeur de sa peau, l’entendre me dire ; « je t’aime maman ».
Dieu a permis de lui donner la vie en moi, de partager tous ses moments de bonheur avec lui, ses biberons, ses premiers pas, la façon dont il m’a dit la première fois ; « maman ». La première déchirure à été de le conduire à la maternelle, puis la deuxième était de le conduire en école primaire, puis au collège.
Et là, la plus grande déchirure qu’il m’ai faite, est de partir définitivement de mes yeux, de prendre le train de l’éternité, sans avoir pris un billet de retour.
En y repensant, une fois toutes ses années de souffrance sans lui, je ne vois plus ce qu’il aurait pu être, mais ce qu’il a été, tous ses moment de bonheur que nous avons partagé.
Je prends conscience qu’il y a tout de même une justice, dés le départ, je lui avais donnée la vie et, en même temps, j’ai compris qu’en lui donnant la vie, je lui offrais aussi la mort. Il me manque toujours, et me manquera jusqu’à ma mort, mais je sais qu’à ce moment là, nous pourrons nous retrouver, et continuer notre amour, pendant toute l’éternité.
Je te remercie Dieu de le garder prés de toi, de le faire grandir dans la lumière, et, de lui permettre de temps en temps, de venir me faire un petit signe.
Il n’y qu’une façon de dire à notre enfant qui est parti, c’est lui dire « je t’aime et tu me manques »
Il y a mille façons de jouer avec notre enfant, de chanter et de rire avec lui.
Il n’y a qu’une façon de penser que nous ne pourrons plus jouer, chanter et rire avec lui.
Il y a mille façons de regarder son enfant, son sourire, son visage et ses yeux pleins d’amour.
Il n’y a qu’une façon de regarder son enfant, au travers d’une photo, et de rêver de souvenirs.
Il y a mille façons de jouer avec son enfant dans sa chambre
Il n’y a qu’une façon de regarder une chambre pleine de jouets, mais… sans enfant
Il y a mille façons de préparer le sac d’école de son enfant
Il n’y a qu’une façon de regarder les affaires d’école de son enfant... sans lui
Il y a mille façons d’allumer les bougies d’anniversaire de son enfant
Il n’y a qu’une façon, d’allumer une bougie, devant la photo de son enfant.
Devant son enfant parti, il ne reste que souffrance et désespoir
Devant son enfant parti, il ne reste que solitude et amertume
Devant son enfant parti, tout prend des couleurs de gris et de noir
Devant son enfant parti, nous en voulons à la terre entière
Devant son enfant parti, une partie de nous-même nous a quitté
Devant son enfant parti, nous n’avons plus de goût à la vie.
Devant son enfant parti, nous ne voulons plus voir personne
Devant son enfant parti, la terre entière nous abandonne
Devant son enfant parti, nous sommes pris d’injustice
Devant son enfant parti, nous devions partir avant lui
Devant son enfant parti, nous en voulons à Dieu
Devant son enfant parti, il n’avait pas le droit de nous le prendre
Maintenant je réagis, je comprends ma souffrance et mon désespoir
Maintenant je réagis, je ne suis plus seul, il y a ma famille et mes amis.
Maintenant je réagis, les couleurs de l’arc en ciel comme à apparaîtrent
Maintenant je réagis, la terre entière n’est pas responsable de mon chagrin
Maintenant je réagis, mais je ne peux retrouver la partie qui m’a quitté
Maintenant je réagis, la vie renaît en moi, je reprends goût à la vie
Maintenant je réagis, j’ouvre ma porte, et je revois amis et famille
Maintenant je réagis, j’ouvre mes bras à la terre entière
Maintenant je réagis, en fait, il y a bien une justice
Maintenant je réagis, je comprends que mon enfant puisse partir avant moi
Maintenant je réagis, Dieu sait ce qu’il fait, il ne le fait pas pour que nous souffrions
Maintenant je réagis, Dieu ne reprend pas mon enfant, c’est mon enfant qui est parti
Il s’est passé longtemps, avant que ma souffrance s’atténue, elle n’est pas partie, mais maintenant, le fardeau est moins lourd à porter, je regarde la photo de mon enfant, je lui mets une bougie à chaque anniversaire de sa naissance et de sa mort.
La partie que je lui avais donnée à ma naissance est toujours avec lui, elle me manque moins, car je sais qu’elle est toujours en lui. J’ai souvent l’impression qu’il est encore là, derrière moi, et qu’il va me prendre les épaules, seulement il est parti, et cela ne se fera plus. Je sens sa présence, je sens son odeur, je sais qu’il est là, mais je ne peux le voir. Cela me rassure un peu, de le savoir prés de moi, mais cela n’enlève pas ma douleur, de savoir que je ne pourrais plus le toucher, sentir l’odeur de sa peau, l’entendre me dire ; « je t’aime maman ».
Dieu a permis de lui donner la vie en moi, de partager tous ses moments de bonheur avec lui, ses biberons, ses premiers pas, la façon dont il m’a dit la première fois ; « maman ». La première déchirure à été de le conduire à la maternelle, puis la deuxième était de le conduire en école primaire, puis au collège.
Et là, la plus grande déchirure qu’il m’ai faite, est de partir définitivement de mes yeux, de prendre le train de l’éternité, sans avoir pris un billet de retour.
En y repensant, une fois toutes ses années de souffrance sans lui, je ne vois plus ce qu’il aurait pu être, mais ce qu’il a été, tous ses moment de bonheur que nous avons partagé.
Je prends conscience qu’il y a tout de même une justice, dés le départ, je lui avais donnée la vie et, en même temps, j’ai compris qu’en lui donnant la vie, je lui offrais aussi la mort. Il me manque toujours, et me manquera jusqu’à ma mort, mais je sais qu’à ce moment là, nous pourrons nous retrouver, et continuer notre amour, pendant toute l’éternité.
Je te remercie Dieu de le garder prés de toi, de le faire grandir dans la lumière, et, de lui permettre de temps en temps, de venir me faire un petit signe.