Pour me présenter, rien de tel que de vous raconter mon histoire de NDE !
Beaucoup de monde dit que la destinée n’existe pas, que nous gérons notre vie, qu’il n’y a rien de tracé. C’est en partie vrai, mais…le destin m’a montré que nous pouvons choisir la façon dont nous vivons, mais que les évènements importants sont prédestinés, sans que nous puissions nous y soustraire. A nous de savoir ce que nous ferons de ces évènements.
En 1976, j’avais l’habitude d’aller, tous les vendredi soir, à Rungis. Là, la route nous appartenait. Il n’y avait plus d’activité, les halls étaient à nous. Nous étions, chaque semaine, plusieurs centaines de motards à nous réunir là, pour faire des figures et de la vitesse sur les routes abandonnées pour la nuit.
Nous étions, toutes les semaines, une dizaine de copains à partir. Ce soir là, je venais de finir ma journée de travail, j’étais soudeur pour une entreprise qui fabriquait des grues. Je suis parti, vers 19h00, comme tous les vendredi, chercher mes copains pour nous rendre à Rungis. Cette fois, personne n’a voulu venir. Ils avaient tous une bonne excuse pour ne pas me suivre.
J’ai donc pris la route avec un seul copain que j’avais réussi à décider. Vu qu’il n’avait pas de moto, il était monté avec moi. Nous nous sommes rendus à Rungis et, vers 22h00, j’avais très mal aux yeux. J’avais dû prendre des coups d’arc électrique, au travail.
Vers 22h10, j’ai décidé de rentrer, car j’avais peur de ne plus pouvoir voir la route, si j’attendais plus. Le « destin » en avait décidé autrement ! Il n’y a pas de hasard, je n’avais jamais été brûlé par la soudure, personne n’avait voulu venir avec moi à Rungis, des détails qui n’étaient pas là pour rien.
En repartant, alors que j’étais encore sur les halles de Rungis, j’ai percuté un bus qui passait par là. C’était son dernier trajet, et le mien aussi. Je l’ai percuté à plus de 110 km/h, le choc a été terrible. Je suis passé par-dessus le bus, pour finir par une glissade de près de vingt mètres. Je ne me suis rendu compte de rien. Mon copain était resté sur place, avec une double fracture du fémur.
Les secours sont arrivés assez vite, je ne comprenais pas ce qu’il se passait. Il y avait beaucoup de monde, ils étaient tous en arc de cercle et je me trouvais parmi ces gens. Nous regardions les services de secours porter assistance à une personne allongée par terre, sur le bitume.
J’ai mis un certain temps à comprendre que la personne allongée sur le sol, c’était moi !!
J’étais là, une femme en blouse blanche me faisait un massage cardiaque. Je ne me sentais pas inquiet, seulement un peu curieux, comme tout le monde. Je ne distinguais que les êtres humains autour, je ne voyais aucune construction, pas de mur, pas de bâtiments, pas de route, comme si tout avait été effacé pour ne laisser que les humains.
Je me suis retrouvé à l’hôpital, inconscient. Arrivé aux urgences, ils m'ont conduit dans une salle. Là, je n'ai plus très bien compris ce qui se passait. Je me suis senti partir de mon corps, j’avais la sensation de me dématérialiser de mon corps, pour me reconstruire à l’extérieur. Je flottais dans la pièce, au-dessus de ce qui devait être moi. Je voyais bien mon corps, mais je n'avais plus l'impression qu'il m'appartenait. Je me suis retrouvé collé au plafond, je flottais sur place de droite à gauche. Mon dos n’arrivait pas à toucher le plafond, un peu comme deux aimants que l’on essaye de faire coller sans y parvenir. Je voyais le personnel hospitalier s'agiter autour de mon corps, je distinguais les voyants qui indiquaient une ligne plate, un peu de la même façon que l'on voit dans les films lorsqu'une personne est morte. Cela ne me gênait pas, j'étais plutôt curieux. Ils découpaient mes vêtements, me faisaient des radios de la tête avant de me retirer mon casque. J’avais beau leur crier qu’il ne fallait pas couper mes vêtements, qu’ils m’avaient coûté cher, mais rien à faire, ils ne m’entendaient pas.
Tout à coup, je me suis senti aspiré à travers le plafond. Je me suis retrouvé dans un tunnel, il a fallu un petit moment pour que je m'habitue à ce nouvel endroit. J'ai remarqué une toute petite lumière au fond du tunnel, et sans que je puisse m'y soustraire, je m'y suis dirigé. J'avais l'impression d'aller à la fois très vite et très lentement. C'était une vitesse indescriptible.
Au fur et à mesure que j'avançais, la lumière grandissait. Le plus étonnant, avec du recul, c'est que cela ne m'inquiétait pas, j'avais l'impression de connaître cet endroit. Lorsque je suis arrivé, je baignais dans la lumière, la luminosité ne faisait pas mal aux yeux, la chaleur y était très douce, j'avais la sensation d'être de retour à la maison, de la même façon que lorsqu’on part en vacances, et que l’on est content de retrouver son chez soi. Cet endroit semblait rempli d'amour.
Le temps de m'habituer à ce lieu, j'ai remarqué, à une distance que je ne saurais dire, une multitude de petites lumières qui m'observaient : elles étaient presque toutes en ligne, formant un léger arc de cercle. J'avais l'impression qu’elles fouillaient en moi, peut-être pour savoir si je faisais partie de leurs familles, ou de leurs amis. J’ai aperçu, derrière ces petits êtres de lumière, une lumière beaucoup plus vive et beaucoup plus grande, sortir de derrière eux. Elle est venue vers moi, et m'a emmené avec elle.
Je me suis retrouvé devant une espèce de vide, je pourrais dire une dimension différente que celle où j’étais. L’être de lumière m'a laissé seul et là, j'ai revu toute ma vie défiler. Je voyais tout le mal que j'avais pu faire aux autres, je ressentais tout ce que j'avais fait de bien et ce que j'avais fait de mal. Cet être de lumière était observateur de mes pensées, mais ne me jugeait pas. D'ailleurs, il n'avait pas à le faire puisque je me jugeais moi-même.
J'ai revu toute ma vie, de ma plus tendre enfance jusqu'à mon accident.
Ensuite, cet être de lumière m'a…comment pourrait-on dire, il m’a fait une visite guidée du monde où je me trouvais. Nous sommes partis voir les planètes qui nous entourent. Il m’a fait ressentir que la vie existait sur ces planètes, qu’elles faisaient partie de nous et que nous faisions partie d’elles.
Nous avons ensuite survolé le bas astral. Un endroit triste, chaque personne y était seule, il y avait beaucoup d’êtres de lumière qui étaient autour d’eux, mais eux ne les voyaient pas. Mon guide m’a fait comprendre que ces êtres ne partiront pas de là tant qu’ils n’auront pas eu un peu de lumière dans leurs âmes.
Nous avons ensuite visité le monde des naissances, un monde merveilleux. Des centaines de petits êtres de lumière, descendent en spirale, tout en chantant et en riant. Ils vont rejoindre le corps de leur future maman. Mon guide m’a fait comprendre que ces petits êtres choisissaient leurs parents en fonction de la mission pour laquelle ils avaient été envoyés. Ils choisissaient leur père et leur mère, même si ceux-ci ne se connaissaient pas encore !
La visite terminée, mon « guide » m’a dit que le moment de rester n'était pas encore arrivé et que j'avais le choix entre rester ou repartir. Pendant une brève seconde, j'ai pensé à ma petite amie que j'avais à ce moment là. Dans la seconde qui suivit, je me retrouvais dans mon corps, dans un lit d'hôpital, dans un corps douloureux.
J'ai beaucoup regretté ce retour, je me retrouvais dans ce corps qui était pesant, que j'avais du mal à déplacer et, qui me faisait souffrir. Il faut dire que j'ai aussi une maladie d'os, de naissance, dont je souffrais assez souvent.
J’étais déçu de ce retour. Je ne me suis pas tout de suite rendu compte de ce qui m'était arrivé, c'est sûr, mais une transformation s'était établie en moi : je n'étais plus jaloux, j'avais beaucoup plus de respect envers tout ce qui était vivant et je prenais maintenant le temps d'écouter quelqu'un d'autre que moi.
Il m'a fallu environ dix ans pour que mon changement se fasse entièrement. En quittant ce monde merveilleux, j'avais appris à discuter avec des personnes décédées, ce monde m'avait donné la possibilité de converser avec des personnes de l'au-delà. J'avais aussi des visions de l'avenir, comme si, avant de retrouver mon corps, cette personne de lumière avait enregistré dans mon cerveau un morceau de l'avenir de la terre et de l'humanité.
Depuis quelques années, je dévore des livres d'ésotérisme, j'ai soif de savoir, j'aime rencontrer les autres, les écouter, leur donner un peu de lumière qui est en moi, de l'amour, et leur montrer que ces personnes sont très importantes, d'abord à leurs propres yeux puis, aux regards de tout le monde.
J'ai appris une chose qui fait partie de ma vie maintenant, c'est que la plus belle chose qui puisse nous arriver, c'est de donner de l'amour et du respect à tout ce qui vit.
Par contre, j'ai une vision d'une rue, visiblement en Amérique, où je ne ressens plus aucune vie, ni humaine, ni animal. Le vide total. Pourtant, les bâtisses et tout le reste est intact. Je pense que c'est une vision de l'avenir qui m'a été donnée avant de revenir sur terre.
Sinon, le don qui m'a été fait, c'est de pouvoir discuter avec des personnes décédées, lorsqu’elles ont envie de me parler, et, également de faire du magnétisme sur les personnes qui souffrent de maux physiques ou psychiques.
Je crois que mon histoire est assez banale, mais il fallait que j'en parle. C'est un besoin. Je n'essaie pas de convaincre ceux à qui je la raconte, mais je me sens obligé de les en informer.
Beaucoup de monde dit que la destinée n’existe pas, que nous gérons notre vie, qu’il n’y a rien de tracé. C’est en partie vrai, mais…le destin m’a montré que nous pouvons choisir la façon dont nous vivons, mais que les évènements importants sont prédestinés, sans que nous puissions nous y soustraire. A nous de savoir ce que nous ferons de ces évènements.
En 1976, j’avais l’habitude d’aller, tous les vendredi soir, à Rungis. Là, la route nous appartenait. Il n’y avait plus d’activité, les halls étaient à nous. Nous étions, chaque semaine, plusieurs centaines de motards à nous réunir là, pour faire des figures et de la vitesse sur les routes abandonnées pour la nuit.
Nous étions, toutes les semaines, une dizaine de copains à partir. Ce soir là, je venais de finir ma journée de travail, j’étais soudeur pour une entreprise qui fabriquait des grues. Je suis parti, vers 19h00, comme tous les vendredi, chercher mes copains pour nous rendre à Rungis. Cette fois, personne n’a voulu venir. Ils avaient tous une bonne excuse pour ne pas me suivre.
J’ai donc pris la route avec un seul copain que j’avais réussi à décider. Vu qu’il n’avait pas de moto, il était monté avec moi. Nous nous sommes rendus à Rungis et, vers 22h00, j’avais très mal aux yeux. J’avais dû prendre des coups d’arc électrique, au travail.
Vers 22h10, j’ai décidé de rentrer, car j’avais peur de ne plus pouvoir voir la route, si j’attendais plus. Le « destin » en avait décidé autrement ! Il n’y a pas de hasard, je n’avais jamais été brûlé par la soudure, personne n’avait voulu venir avec moi à Rungis, des détails qui n’étaient pas là pour rien.
En repartant, alors que j’étais encore sur les halles de Rungis, j’ai percuté un bus qui passait par là. C’était son dernier trajet, et le mien aussi. Je l’ai percuté à plus de 110 km/h, le choc a été terrible. Je suis passé par-dessus le bus, pour finir par une glissade de près de vingt mètres. Je ne me suis rendu compte de rien. Mon copain était resté sur place, avec une double fracture du fémur.
Les secours sont arrivés assez vite, je ne comprenais pas ce qu’il se passait. Il y avait beaucoup de monde, ils étaient tous en arc de cercle et je me trouvais parmi ces gens. Nous regardions les services de secours porter assistance à une personne allongée par terre, sur le bitume.
J’ai mis un certain temps à comprendre que la personne allongée sur le sol, c’était moi !!
J’étais là, une femme en blouse blanche me faisait un massage cardiaque. Je ne me sentais pas inquiet, seulement un peu curieux, comme tout le monde. Je ne distinguais que les êtres humains autour, je ne voyais aucune construction, pas de mur, pas de bâtiments, pas de route, comme si tout avait été effacé pour ne laisser que les humains.
Je me suis retrouvé à l’hôpital, inconscient. Arrivé aux urgences, ils m'ont conduit dans une salle. Là, je n'ai plus très bien compris ce qui se passait. Je me suis senti partir de mon corps, j’avais la sensation de me dématérialiser de mon corps, pour me reconstruire à l’extérieur. Je flottais dans la pièce, au-dessus de ce qui devait être moi. Je voyais bien mon corps, mais je n'avais plus l'impression qu'il m'appartenait. Je me suis retrouvé collé au plafond, je flottais sur place de droite à gauche. Mon dos n’arrivait pas à toucher le plafond, un peu comme deux aimants que l’on essaye de faire coller sans y parvenir. Je voyais le personnel hospitalier s'agiter autour de mon corps, je distinguais les voyants qui indiquaient une ligne plate, un peu de la même façon que l'on voit dans les films lorsqu'une personne est morte. Cela ne me gênait pas, j'étais plutôt curieux. Ils découpaient mes vêtements, me faisaient des radios de la tête avant de me retirer mon casque. J’avais beau leur crier qu’il ne fallait pas couper mes vêtements, qu’ils m’avaient coûté cher, mais rien à faire, ils ne m’entendaient pas.
Tout à coup, je me suis senti aspiré à travers le plafond. Je me suis retrouvé dans un tunnel, il a fallu un petit moment pour que je m'habitue à ce nouvel endroit. J'ai remarqué une toute petite lumière au fond du tunnel, et sans que je puisse m'y soustraire, je m'y suis dirigé. J'avais l'impression d'aller à la fois très vite et très lentement. C'était une vitesse indescriptible.
Au fur et à mesure que j'avançais, la lumière grandissait. Le plus étonnant, avec du recul, c'est que cela ne m'inquiétait pas, j'avais l'impression de connaître cet endroit. Lorsque je suis arrivé, je baignais dans la lumière, la luminosité ne faisait pas mal aux yeux, la chaleur y était très douce, j'avais la sensation d'être de retour à la maison, de la même façon que lorsqu’on part en vacances, et que l’on est content de retrouver son chez soi. Cet endroit semblait rempli d'amour.
Le temps de m'habituer à ce lieu, j'ai remarqué, à une distance que je ne saurais dire, une multitude de petites lumières qui m'observaient : elles étaient presque toutes en ligne, formant un léger arc de cercle. J'avais l'impression qu’elles fouillaient en moi, peut-être pour savoir si je faisais partie de leurs familles, ou de leurs amis. J’ai aperçu, derrière ces petits êtres de lumière, une lumière beaucoup plus vive et beaucoup plus grande, sortir de derrière eux. Elle est venue vers moi, et m'a emmené avec elle.
Je me suis retrouvé devant une espèce de vide, je pourrais dire une dimension différente que celle où j’étais. L’être de lumière m'a laissé seul et là, j'ai revu toute ma vie défiler. Je voyais tout le mal que j'avais pu faire aux autres, je ressentais tout ce que j'avais fait de bien et ce que j'avais fait de mal. Cet être de lumière était observateur de mes pensées, mais ne me jugeait pas. D'ailleurs, il n'avait pas à le faire puisque je me jugeais moi-même.
J'ai revu toute ma vie, de ma plus tendre enfance jusqu'à mon accident.
Ensuite, cet être de lumière m'a…comment pourrait-on dire, il m’a fait une visite guidée du monde où je me trouvais. Nous sommes partis voir les planètes qui nous entourent. Il m’a fait ressentir que la vie existait sur ces planètes, qu’elles faisaient partie de nous et que nous faisions partie d’elles.
Nous avons ensuite survolé le bas astral. Un endroit triste, chaque personne y était seule, il y avait beaucoup d’êtres de lumière qui étaient autour d’eux, mais eux ne les voyaient pas. Mon guide m’a fait comprendre que ces êtres ne partiront pas de là tant qu’ils n’auront pas eu un peu de lumière dans leurs âmes.
Nous avons ensuite visité le monde des naissances, un monde merveilleux. Des centaines de petits êtres de lumière, descendent en spirale, tout en chantant et en riant. Ils vont rejoindre le corps de leur future maman. Mon guide m’a fait comprendre que ces petits êtres choisissaient leurs parents en fonction de la mission pour laquelle ils avaient été envoyés. Ils choisissaient leur père et leur mère, même si ceux-ci ne se connaissaient pas encore !
La visite terminée, mon « guide » m’a dit que le moment de rester n'était pas encore arrivé et que j'avais le choix entre rester ou repartir. Pendant une brève seconde, j'ai pensé à ma petite amie que j'avais à ce moment là. Dans la seconde qui suivit, je me retrouvais dans mon corps, dans un lit d'hôpital, dans un corps douloureux.
J'ai beaucoup regretté ce retour, je me retrouvais dans ce corps qui était pesant, que j'avais du mal à déplacer et, qui me faisait souffrir. Il faut dire que j'ai aussi une maladie d'os, de naissance, dont je souffrais assez souvent.
J’étais déçu de ce retour. Je ne me suis pas tout de suite rendu compte de ce qui m'était arrivé, c'est sûr, mais une transformation s'était établie en moi : je n'étais plus jaloux, j'avais beaucoup plus de respect envers tout ce qui était vivant et je prenais maintenant le temps d'écouter quelqu'un d'autre que moi.
Il m'a fallu environ dix ans pour que mon changement se fasse entièrement. En quittant ce monde merveilleux, j'avais appris à discuter avec des personnes décédées, ce monde m'avait donné la possibilité de converser avec des personnes de l'au-delà. J'avais aussi des visions de l'avenir, comme si, avant de retrouver mon corps, cette personne de lumière avait enregistré dans mon cerveau un morceau de l'avenir de la terre et de l'humanité.
Depuis quelques années, je dévore des livres d'ésotérisme, j'ai soif de savoir, j'aime rencontrer les autres, les écouter, leur donner un peu de lumière qui est en moi, de l'amour, et leur montrer que ces personnes sont très importantes, d'abord à leurs propres yeux puis, aux regards de tout le monde.
J'ai appris une chose qui fait partie de ma vie maintenant, c'est que la plus belle chose qui puisse nous arriver, c'est de donner de l'amour et du respect à tout ce qui vit.
Par contre, j'ai une vision d'une rue, visiblement en Amérique, où je ne ressens plus aucune vie, ni humaine, ni animal. Le vide total. Pourtant, les bâtisses et tout le reste est intact. Je pense que c'est une vision de l'avenir qui m'a été donnée avant de revenir sur terre.
Sinon, le don qui m'a été fait, c'est de pouvoir discuter avec des personnes décédées, lorsqu’elles ont envie de me parler, et, également de faire du magnétisme sur les personnes qui souffrent de maux physiques ou psychiques.
Je crois que mon histoire est assez banale, mais il fallait que j'en parle. C'est un besoin. Je n'essaie pas de convaincre ceux à qui je la raconte, mais je me sens obligé de les en informer.