Les "collabeurs" d'apres Marc Edouard Nabe
LES COLLABEURS
J'en veux à ces «Arabes» français (c'est «Arabes» qu'il faut mettre entre guillemets, pas «français» !) qui pourraient ouvrir leur gueule et qui la ferment. Plus ces lâches, colonisés dans l'âme au point de se laisser traiter de «beurs», sont connus, plus ils se taisent. Ils écoutent sans sourciller — et quelquefois sans moustacher – leurs patrons répéter que les attentats en Irak et en Palestine sont inspirés par la haine religieuse pour l'Occident, que ce sont les Musulmans d'abord qui en font les frais et en particulier les femmes, et autres @#$%& démagocratiques... Les Arabes intégrés sont des esclaves volontaires qui participent à l'entreprise industrielle de désislamisation généralisée. Moins de Coran et repli identitaire sur des traditions injustifiées. Voilà pourquoi je les appelle désormais des Collabeurs.
Les Arabes, les Français ne les emploient que pour dire du mal de leurs frères. C'est le seul boulot au fond qu'on daigne leur trouver. Faire de la propagande contre les Musulmans. Chacun à son niveau y va de sa petite désolidarisation. Avant, on exploitait les Arabes en leur mettant un marteau-piqueur entre les mains pour qu'ils défoncent la chaussée. Maintenant, ils doivent eux-mêmes être les marteaux-piqueurs qui défoncent l'islam véritable. C'est toujours de la main-d'oeuvre, ni plus ni moins. Quel que soit le statut social auquel on fait semblant de le laisser accéder, l'Arabe le plus lettré, le plus professoral, le plus universitaire, se retrouve au service du Laïc.
Non seulement ils sont collabos, mais ils vantent les mérites de la collaboration, ils savent très bien que sans ça ils resteraient de pauvres Arabes humiliés. Ils préfèrent devenir de riches Arabes humiliants. Et puis. sr «engagement» pour la «Paix» dans ce qu'ils osent encore appeler la «Palestine» est un gage de plus de leur succès. Plus ils comprendront Israël, moins Israël les prendra pour des cons. L'essentiel est qu'ils crachent dans le bouillon du couscous. Alors, ils seront sûrs de continuer à casser la graine. Les collabeurs ont tous tellement peur de perdre leur place ! Au moins, qu'ils expliquent pourquoi dire certaines choses les priverait de leur boulot... Même pas.
On l'a bien vu dans l'affaire Dieudonné. Seuls les plus naïfs ont avoué que ce serait dangereux pour leur carrière de sou-tenir le Camerounais antisioniste. Le voilà, l'antisémitisme inconscient qui passe aux aveux. Si on pense que ne pas se démarquer de quelqu'un qui est accusé d'être antisémite est préjudiciable à son emploi dans le show-biz, c'est qu'on admet que ce show-biz est dirigé par des gens qui voient de l'antisémitisme partout Les collabeurs révèlent sans le vouloir le fond de leur pensée qui n'est autre que le fameux cliché qu'ils font semblant de pourfendre et qu'ils alimentent par leur autocensure: ce sont les Juifs qui dirigent le show-business et tout le monde dépend d'eux. Les requins ricanent. Je suis persuadé que les plus malins des producteurs préfèrent encore Dieudonné et sa grande gueule aux faux @#$%& qui se désolidarisent de lui par peur de per ' e leur croûte
Dans le spectacle, il y en a un paquet de collabeurs à avoir désavoué leur camarade ! Fellag par exemple, le drolatique Kabyle a joué au dernier des chameaux en reprochant à Dieudonné d'avoir «dépassé la limite». Evidemment, pour lui c'est facile de faire marrer en racontant des histoires algériennes, bien dégagé et pas seulement derrière les oreilles, dans de petits spectacles plus tendres que cruels.
Et le petit nouveau Tomer Sisley qui estime qu'« on ne peut pas rire de tout». Lui ne prend aucun risque, il arrive sur scène et d'emblée il dit: «Je suis juif et arabe.» Il est le seul – avec ceux qui ne sont pas arabes – à trouver ça drôle. Tout va bien pour lui, qu'est-ce qu'il y a de marrant ? Vrai ou faux, le doute subsiste et il en bénéficie pour faire passer son mes-sage de «rigolo» qui fait semblant de ne pas comprendre pourquoi il peut tout dire désormais. A lui on ne reproche pas de faire des sketches pas drôles.
Dans le genre «intello», il y a aussi Malek Chebel avec sa tête de cocu du Coran ! Il n'arrête pas de dire «merci, merci» aux Occidentaux qui daignent l'accepter dans leur clan en tant que traître absolu, multipliant les manifestes et les dictionnaires sur un islam aseptisé et intégrationniste. Chebel se dit «radical de la modération », un «prof beur» qui est pour la «concorde»! Malek Chebel qui prône l'« islam des Lumières» ! Bientôt, il va nous dire que la Révolution française était avant tout islamique, islamique modérée bien sûr. Ce collabeur se réjouit que des imams soient expulsés et attend que l'État et les intellectuels se soudent davantage pour combattre les extrémistes de son pays ! On rêve ! C'est les mille et une saloperies !
Super-collabeurs également, les commentateurs professionnels des problèmes du Proche-Orient... Grandes gueules de l'antiterrorisme ! Tous ces spécialistes qui ne voyagent jamais ! «C'est tout à fait symptomatique de ce qui se passe dans la région», disent-ils. On en voit tous les jours dans l'émission C dans l'air, la bien nommée, où toujours les mêmes théoriciens du carnage viennent faire du catastrophisme sans jamais prendre parti. À côté d'une barbouze toujours habillé en Jacquard, il y a deux anciens des forces libanaises: un à fine moustache très serveur de soupe, et surtout un autre à proverbes avec une gueule de traviole. Sa bouche, à force de se tordre pour mentir, va finir par passer de l'autre côté de sa tête et se retrouver sur sa nuque ! Ça lui donne un air dégoûté, mais c'est lui qui est dégoûtant... Lorsqu'ils ne se gourent pas sur les événements, ces deux-là noircissent le tableau face à un Yves Calvi dont le boulot est de s'ébahir devant l'actualité et de traduire en langage journalistique leurs topos erronés ! Gueule-Tordue est d'autant plus «collabeur» qu'il n'est pas «beur»! Il dit toujours aux Blancs : «excusez-moi», ce qui veut dire: «Pardon, mes frères arabes.»
Mais le pire de tous, c'est Mohamed Sifaoui, délateur professionnel, taupe des occidentalistes, mouchard dans l'âme, infiltreur corrompu qui se fait passer pour un héros parce qu'il traite Bush, Sharon et Ben Laden de «fascistes»... Employé du pire journalisme, faux @#$%& absolu, il espionne les imams avec des caméras cachées. Sifaoui se présente comme enquêteur «au péril de sa vie» et les médias le reçoivent les larmes aux yeux et les paumes pleines d'applaudissements. Il faudrait récurer ses casseroles à celui-là aussi, parce qu'il doit en avoir de belles à son @#$%& !
Les collabeurs sont prêts à tout pour entrer dans le cénacle médiatico-politique, car ils adorent la politique. Il n'y a pas que Malek Boutih le Tom Pousse-au-crime, celui que tous les banlieusards appellent «Malek Bounty» (noir dehors et blanc dedans). Il y a aussi sa «soeur» Loubdna Méliane, l'héroïne de «Ni @#$%& Ni Soumises», un titre de film non porno érigé en slogan féministo-laïc. «Ni @#$%& Ni Soumises» devait forcé-ment s'associer à SOS Racisme et à Fun Radio. Ni @#$%& Ni Soumises ! Quand on s'intéresse un peu à la dénégation on sait ce que ça veut dire. Ça veut dire @#$%& et soumises bien sûr. Attention, pas «@#$%&» au sens des @#$%&, arabes ou pas, qui se prostituent, avec ou sans mac, pour plein de raisons que les «Ni @#$%& Ni Soumises» ignorent et méprisent. Non, @#$%&, au sens de «faire la @#$%&» pour obtenir ce qu'elles veulent. Les @#$%& sont des @#$%& comme on est écrivain ou musicien de jazz, mais les «Ni @#$%& Ni Soumises» font les @#$%&, nuance.
Ce mouvement est une insulte aux grandes @#$%& et aussi l'aveu que ces petites mijaurées du parti socialiste, en mal de reconnaissance médiatique, sont totalement soumises, et plus encore, se servent de quelques exemples de malheureuses filles arabes persécutées par leur frère ou leur père ignorants pour avoir un bon prétexte de bouffer enfin à tous les râteliers. La petite Méliane elle aussi veut sa part de gâteau. Collabeurette, elle déteste au fond toute forme de révolte, surtout si celle-ci prend l'aspect d'un voile. N'est-elle ni intelligente ni courageuse pour comprendre et dire que la plupart des filles musulmanes le portent non pas par obscurantisme, mais par signe ostentatoire d'indignation contre la «modernité» occidentale? Elles se radicalisent par provocation et goût enfantin de la liberté contre leurs parents adeptes, par intérêt, d'un islam soluble dans la pseudo-démocratie à l'occidentale : c'est ça la vérité.
Les «Ni @#$%& Ni Soumises », il faut voir leur comité de parrainage : les «intellos» les plus corrompus de ces vingt dernières années, la brochette de @#$%& du monde «libre». Loubna Méliane, aussi vicieuse-présidente de SOS Racisme, c'est la fille des cités, «française avant tout», et qui déteste qu'on lui rappelle ses origines, mais qui a fait tout son beurre (sans jeu de mots) sur elles. Elle veut être le nouveau visage souriant de l'intégration militante ! Elle est surtout médiatisée parce que c'est une «bonne cliente» depuis le lycée : elle a du bagout, la Méliane !
C'est le grand truc des collabeurs, ça: la parlotte creuse. Ils enfilent des phrases longues et «en colère» pour faire croire qu'ils ont quelque chose à dire. Et quelle putasserie ! Dans le genre grande gueule qui vend bien sa salade, le petit Rachid Djaïdani tient le pompon. Quel démago culotté ! Ce «bon client» squatte tout ce qu'il peut comme talk-show, jusqu'à gêner les plus chevronnés médiateux qui ne peuvent pas le @#$%& à la porte sans risquer de passer pour anti-beurs. Rachid, qui se veut «écrivain» et non rappeur, balance sa vibes en free style pour mieux pleurnicher de n'être pas encore assez vite une vedette du show-biz... Le complexe des Blancs est tel qu'ils le laissent faire, alors qu'ils pensent que Djaïdani n'est qu'une petite frappe de plus aux dents longues et aux @#$%& pas encore sorties. Parfait beubeur pour donner l'illusion d'une révolte arabe à des assemblées d'antiracistes professionnels. Son discours à ses «frères», c'est: «Existez, et la télé vous fera vivre ! »
Joli programme révolutionnaire ! Ah, ils sont tous écoeurants. Il n'y a guère que Djamel Bouras peut-être, le judoka chaoui, qui ose un peu l'ouvrir. Et Rachid Taha qui avait fait jadis une parodie de Douce France de Charles Trenet à la sauce arabe. Lui seul semble avoir bien compris. Quand je l'ai rencontré, il m'a reconnu comme étant l'écrivain qui était allé en Irak. «Je ne t'ai pas vu là-bas !» lui ai-je dit. «Les Arabes n'aiment pas les rebeus... » m'a-t-il répondu, lucide. J'aime bien ce complexe franchement avoué ! On est loin de Samy Nacéri embrassant Gérard Darmon avant de quitter le plateau d'Ardisson. Comme il s'était cru obligé, chez le même, de jurer sur le Coran (avec beaucoup de trémolos) qu'il épouserait sans problèmes une Juive (séquence coupée)... Et les Cheb Mami, les Khaled, les Faudel... Tous terrorisés à l'idée d'être associés à de vrais Arabes. Il faut rentrer dans le lard de tous ces petits cochons !...
Les Tariq Ramadan, les Mohamed Latrèche gênent les collabeurs car ils mettent en péril leur petit système anti-révolutionnaire et lucratif de collaboration. Le mot d'ordre des Arabes modérationnistes après le 11 septembre, c'est «Chut, surtout ne nous faisons pas remarquer ! » Ils se plaignent ensuite que les Blancs les considèrent tous plus ou moins comme des terroristes. Plus ils sont collabos, plus ils grimacent quand on leur rappelle leurs origines, ils mettent ça sur le dos de la lutte contre le racisme, mais c'est sous le poids de l'arrivisme qu'ils croulent. Regardez d'ailleurs comme ils sont ployés. Toujours alourdis par leur trahison alors que les autres sont droits.
LES COLLABEURS
J'en veux à ces «Arabes» français (c'est «Arabes» qu'il faut mettre entre guillemets, pas «français» !) qui pourraient ouvrir leur gueule et qui la ferment. Plus ces lâches, colonisés dans l'âme au point de se laisser traiter de «beurs», sont connus, plus ils se taisent. Ils écoutent sans sourciller — et quelquefois sans moustacher – leurs patrons répéter que les attentats en Irak et en Palestine sont inspirés par la haine religieuse pour l'Occident, que ce sont les Musulmans d'abord qui en font les frais et en particulier les femmes, et autres @#$%& démagocratiques... Les Arabes intégrés sont des esclaves volontaires qui participent à l'entreprise industrielle de désislamisation généralisée. Moins de Coran et repli identitaire sur des traditions injustifiées. Voilà pourquoi je les appelle désormais des Collabeurs.
Les Arabes, les Français ne les emploient que pour dire du mal de leurs frères. C'est le seul boulot au fond qu'on daigne leur trouver. Faire de la propagande contre les Musulmans. Chacun à son niveau y va de sa petite désolidarisation. Avant, on exploitait les Arabes en leur mettant un marteau-piqueur entre les mains pour qu'ils défoncent la chaussée. Maintenant, ils doivent eux-mêmes être les marteaux-piqueurs qui défoncent l'islam véritable. C'est toujours de la main-d'oeuvre, ni plus ni moins. Quel que soit le statut social auquel on fait semblant de le laisser accéder, l'Arabe le plus lettré, le plus professoral, le plus universitaire, se retrouve au service du Laïc.
Non seulement ils sont collabos, mais ils vantent les mérites de la collaboration, ils savent très bien que sans ça ils resteraient de pauvres Arabes humiliés. Ils préfèrent devenir de riches Arabes humiliants. Et puis. sr «engagement» pour la «Paix» dans ce qu'ils osent encore appeler la «Palestine» est un gage de plus de leur succès. Plus ils comprendront Israël, moins Israël les prendra pour des cons. L'essentiel est qu'ils crachent dans le bouillon du couscous. Alors, ils seront sûrs de continuer à casser la graine. Les collabeurs ont tous tellement peur de perdre leur place ! Au moins, qu'ils expliquent pourquoi dire certaines choses les priverait de leur boulot... Même pas.
On l'a bien vu dans l'affaire Dieudonné. Seuls les plus naïfs ont avoué que ce serait dangereux pour leur carrière de sou-tenir le Camerounais antisioniste. Le voilà, l'antisémitisme inconscient qui passe aux aveux. Si on pense que ne pas se démarquer de quelqu'un qui est accusé d'être antisémite est préjudiciable à son emploi dans le show-biz, c'est qu'on admet que ce show-biz est dirigé par des gens qui voient de l'antisémitisme partout Les collabeurs révèlent sans le vouloir le fond de leur pensée qui n'est autre que le fameux cliché qu'ils font semblant de pourfendre et qu'ils alimentent par leur autocensure: ce sont les Juifs qui dirigent le show-business et tout le monde dépend d'eux. Les requins ricanent. Je suis persuadé que les plus malins des producteurs préfèrent encore Dieudonné et sa grande gueule aux faux @#$%& qui se désolidarisent de lui par peur de per ' e leur croûte
Dans le spectacle, il y en a un paquet de collabeurs à avoir désavoué leur camarade ! Fellag par exemple, le drolatique Kabyle a joué au dernier des chameaux en reprochant à Dieudonné d'avoir «dépassé la limite». Evidemment, pour lui c'est facile de faire marrer en racontant des histoires algériennes, bien dégagé et pas seulement derrière les oreilles, dans de petits spectacles plus tendres que cruels.
Et le petit nouveau Tomer Sisley qui estime qu'« on ne peut pas rire de tout». Lui ne prend aucun risque, il arrive sur scène et d'emblée il dit: «Je suis juif et arabe.» Il est le seul – avec ceux qui ne sont pas arabes – à trouver ça drôle. Tout va bien pour lui, qu'est-ce qu'il y a de marrant ? Vrai ou faux, le doute subsiste et il en bénéficie pour faire passer son mes-sage de «rigolo» qui fait semblant de ne pas comprendre pourquoi il peut tout dire désormais. A lui on ne reproche pas de faire des sketches pas drôles.
Dans le genre «intello», il y a aussi Malek Chebel avec sa tête de cocu du Coran ! Il n'arrête pas de dire «merci, merci» aux Occidentaux qui daignent l'accepter dans leur clan en tant que traître absolu, multipliant les manifestes et les dictionnaires sur un islam aseptisé et intégrationniste. Chebel se dit «radical de la modération », un «prof beur» qui est pour la «concorde»! Malek Chebel qui prône l'« islam des Lumières» ! Bientôt, il va nous dire que la Révolution française était avant tout islamique, islamique modérée bien sûr. Ce collabeur se réjouit que des imams soient expulsés et attend que l'État et les intellectuels se soudent davantage pour combattre les extrémistes de son pays ! On rêve ! C'est les mille et une saloperies !
Super-collabeurs également, les commentateurs professionnels des problèmes du Proche-Orient... Grandes gueules de l'antiterrorisme ! Tous ces spécialistes qui ne voyagent jamais ! «C'est tout à fait symptomatique de ce qui se passe dans la région», disent-ils. On en voit tous les jours dans l'émission C dans l'air, la bien nommée, où toujours les mêmes théoriciens du carnage viennent faire du catastrophisme sans jamais prendre parti. À côté d'une barbouze toujours habillé en Jacquard, il y a deux anciens des forces libanaises: un à fine moustache très serveur de soupe, et surtout un autre à proverbes avec une gueule de traviole. Sa bouche, à force de se tordre pour mentir, va finir par passer de l'autre côté de sa tête et se retrouver sur sa nuque ! Ça lui donne un air dégoûté, mais c'est lui qui est dégoûtant... Lorsqu'ils ne se gourent pas sur les événements, ces deux-là noircissent le tableau face à un Yves Calvi dont le boulot est de s'ébahir devant l'actualité et de traduire en langage journalistique leurs topos erronés ! Gueule-Tordue est d'autant plus «collabeur» qu'il n'est pas «beur»! Il dit toujours aux Blancs : «excusez-moi», ce qui veut dire: «Pardon, mes frères arabes.»
Mais le pire de tous, c'est Mohamed Sifaoui, délateur professionnel, taupe des occidentalistes, mouchard dans l'âme, infiltreur corrompu qui se fait passer pour un héros parce qu'il traite Bush, Sharon et Ben Laden de «fascistes»... Employé du pire journalisme, faux @#$%& absolu, il espionne les imams avec des caméras cachées. Sifaoui se présente comme enquêteur «au péril de sa vie» et les médias le reçoivent les larmes aux yeux et les paumes pleines d'applaudissements. Il faudrait récurer ses casseroles à celui-là aussi, parce qu'il doit en avoir de belles à son @#$%& !
Les collabeurs sont prêts à tout pour entrer dans le cénacle médiatico-politique, car ils adorent la politique. Il n'y a pas que Malek Boutih le Tom Pousse-au-crime, celui que tous les banlieusards appellent «Malek Bounty» (noir dehors et blanc dedans). Il y a aussi sa «soeur» Loubdna Méliane, l'héroïne de «Ni @#$%& Ni Soumises», un titre de film non porno érigé en slogan féministo-laïc. «Ni @#$%& Ni Soumises» devait forcé-ment s'associer à SOS Racisme et à Fun Radio. Ni @#$%& Ni Soumises ! Quand on s'intéresse un peu à la dénégation on sait ce que ça veut dire. Ça veut dire @#$%& et soumises bien sûr. Attention, pas «@#$%&» au sens des @#$%&, arabes ou pas, qui se prostituent, avec ou sans mac, pour plein de raisons que les «Ni @#$%& Ni Soumises» ignorent et méprisent. Non, @#$%&, au sens de «faire la @#$%&» pour obtenir ce qu'elles veulent. Les @#$%& sont des @#$%& comme on est écrivain ou musicien de jazz, mais les «Ni @#$%& Ni Soumises» font les @#$%&, nuance.
Ce mouvement est une insulte aux grandes @#$%& et aussi l'aveu que ces petites mijaurées du parti socialiste, en mal de reconnaissance médiatique, sont totalement soumises, et plus encore, se servent de quelques exemples de malheureuses filles arabes persécutées par leur frère ou leur père ignorants pour avoir un bon prétexte de bouffer enfin à tous les râteliers. La petite Méliane elle aussi veut sa part de gâteau. Collabeurette, elle déteste au fond toute forme de révolte, surtout si celle-ci prend l'aspect d'un voile. N'est-elle ni intelligente ni courageuse pour comprendre et dire que la plupart des filles musulmanes le portent non pas par obscurantisme, mais par signe ostentatoire d'indignation contre la «modernité» occidentale? Elles se radicalisent par provocation et goût enfantin de la liberté contre leurs parents adeptes, par intérêt, d'un islam soluble dans la pseudo-démocratie à l'occidentale : c'est ça la vérité.
Les «Ni @#$%& Ni Soumises », il faut voir leur comité de parrainage : les «intellos» les plus corrompus de ces vingt dernières années, la brochette de @#$%& du monde «libre». Loubna Méliane, aussi vicieuse-présidente de SOS Racisme, c'est la fille des cités, «française avant tout», et qui déteste qu'on lui rappelle ses origines, mais qui a fait tout son beurre (sans jeu de mots) sur elles. Elle veut être le nouveau visage souriant de l'intégration militante ! Elle est surtout médiatisée parce que c'est une «bonne cliente» depuis le lycée : elle a du bagout, la Méliane !
C'est le grand truc des collabeurs, ça: la parlotte creuse. Ils enfilent des phrases longues et «en colère» pour faire croire qu'ils ont quelque chose à dire. Et quelle putasserie ! Dans le genre grande gueule qui vend bien sa salade, le petit Rachid Djaïdani tient le pompon. Quel démago culotté ! Ce «bon client» squatte tout ce qu'il peut comme talk-show, jusqu'à gêner les plus chevronnés médiateux qui ne peuvent pas le @#$%& à la porte sans risquer de passer pour anti-beurs. Rachid, qui se veut «écrivain» et non rappeur, balance sa vibes en free style pour mieux pleurnicher de n'être pas encore assez vite une vedette du show-biz... Le complexe des Blancs est tel qu'ils le laissent faire, alors qu'ils pensent que Djaïdani n'est qu'une petite frappe de plus aux dents longues et aux @#$%& pas encore sorties. Parfait beubeur pour donner l'illusion d'une révolte arabe à des assemblées d'antiracistes professionnels. Son discours à ses «frères», c'est: «Existez, et la télé vous fera vivre ! »
Joli programme révolutionnaire ! Ah, ils sont tous écoeurants. Il n'y a guère que Djamel Bouras peut-être, le judoka chaoui, qui ose un peu l'ouvrir. Et Rachid Taha qui avait fait jadis une parodie de Douce France de Charles Trenet à la sauce arabe. Lui seul semble avoir bien compris. Quand je l'ai rencontré, il m'a reconnu comme étant l'écrivain qui était allé en Irak. «Je ne t'ai pas vu là-bas !» lui ai-je dit. «Les Arabes n'aiment pas les rebeus... » m'a-t-il répondu, lucide. J'aime bien ce complexe franchement avoué ! On est loin de Samy Nacéri embrassant Gérard Darmon avant de quitter le plateau d'Ardisson. Comme il s'était cru obligé, chez le même, de jurer sur le Coran (avec beaucoup de trémolos) qu'il épouserait sans problèmes une Juive (séquence coupée)... Et les Cheb Mami, les Khaled, les Faudel... Tous terrorisés à l'idée d'être associés à de vrais Arabes. Il faut rentrer dans le lard de tous ces petits cochons !...
Les Tariq Ramadan, les Mohamed Latrèche gênent les collabeurs car ils mettent en péril leur petit système anti-révolutionnaire et lucratif de collaboration. Le mot d'ordre des Arabes modérationnistes après le 11 septembre, c'est «Chut, surtout ne nous faisons pas remarquer ! » Ils se plaignent ensuite que les Blancs les considèrent tous plus ou moins comme des terroristes. Plus ils sont collabos, plus ils grimacent quand on leur rappelle leurs origines, ils mettent ça sur le dos de la lutte contre le racisme, mais c'est sous le poids de l'arrivisme qu'ils croulent. Regardez d'ailleurs comme ils sont ployés. Toujours alourdis par leur trahison alors que les autres sont droits.