Communiqué du Parti des Musulmans de France
Le Parti des Musulmans de France, qui
s’est abstenu de présenter une candidature illusoire à la
présidentielle de 2007, publie le communiqué suivant en guise de
consignes de vote.
L’élection présidentielle de 2007 est un rendez-vous
politique déterminant pour l’avenir de la France. Elle opposera douze
candidats validés par le Conseil constitutionnel. Le « système » ne
permettra l’accès à la magistrature suprême qu’à l’un des trois
candidats suivants : Nicolas Sarkosy, Ségolène Royal et François
Bayrou. Ils ne sont ni de droite, ni de gauche et ils n’apporteront
aucune solution aux défis que notre nation aura à relever. Pour s’en
rendre compte, il n’y a qu’à constater le cynisme avec lequel chacun
aborde sa campagne électorale et observer les moyens qu’il déploie pour
être, coûte que coûte, le nouveau locataire du palais de l’Elysée.
Le candidat dit de l’UMP, très réputé pour ses dérives et ses excès,
est sans conteste le plus dangereux de tous. Sa haine viscérale pour
tout ce qui est faible, donc « inférieur », révèle à quel point il
reste un personnage fragile. Le Ministère de l’intérieur qu’il a
tardivement quitté aura été son meilleur soutien pour combler ses
nombreuses lacunes, liées pour l’essentiel à sa peur d’un nouvel échec.
Sans retenue, il ose parler d’identité, lui qui est fasciné par un
certain Bush, un autre fragile aux mains souillées de sang et avec
insolence, il s’en prend aux immigrés, lui le naturalisé de parents
hongrois dont l’un et le fils d’un Grec.
Le plus inquiétant est la liste des ralliements autour de sa personne.
Ils sont politiciens, journalistes, écrivains, intellectuels et
artistes de gauche, de droite et de nulle part, tous unis, telle une
tribu autour de leur chef pour le soutenir avec leurs tripes. Sa
victoire, censée faire avancer leur cause commune, explique
l’admiration qu’ils vouent à leur leader qu’ils n’hésitent plus à
présenter comme étant le « sauveur » de la France. De quoi ? On a du
mal à l’imaginer.
En réalité ce « messie » n’a qu’un objectif : concrétiser le programme
occulte qu’il a concocté avec les siens. En retour, il saura les
gratifier. La République - depuis la Révolution - est aussi une
monarchie qui ne dit pas son nom.
Quant à la candidate du PS, réputée pour son arrogance et ses méthodes,
elle est loin d’apporter les changements que le pays attend. Pas plus
que les « éléphants » de son clan, véritables gardiens de l’idéologie
girouette d’un parti qui ne doit sa survie qu’à ses fabuleux moyens
financiers, fruits de l’héritage d’un passé sauvé par une auto-amnistie
qui en dit long sur des méthodes plus proches de la mafia que d’un Etat
de droit. Ces faux socialistes ont toujours eu un faible pour l’argent,
la richesse est aussi leur chasse gardée. Avec de tels antécédents, ils
n’ont pas de scrupules pour solliciter les voix de gauche et venir
appliquer, une fois revenus aux affaires, une politique de droite.
Dans ce contexte, leur candidate ne peut que servir de repoussoir pour protéger le pays d’un sarkosisme encore plus dévastateur.
Reste le candidat anti-système, du système ! François Bayrou. Gonflé
par les sondages un temps, il ressemble aux papillons qui ne vivent
qu’une saison. Si le système devait lui ouvrir les portes du pouvoir,
il se renierait une énième fois. L’opportunisme et l’hypocrisie, une
culture politique très centriste, ont bien fermenté chez cet
agriculteur agrégé qui se permet - sans toupet - de vomir un système
qui l’a si bien engraissé, trente années durant. Loin d’être un
révolutionnaire, ce prétendu modeste sait qu’il aura besoin du système
pour exercer le pouvoir, de même qu’il n’ignore pas que son élection
apporterait au pays plus d’incertitudes que de réformes. Quant à la
cohabitation à laquelle il appelle déjà, elle augure de l’instabilité
dans laquelle il compte plonger le pays. Ce serait alors une
cohabitation voulue et non subie, qui ferait de ce centriste tout
terrain un responsable non coupable. Rêver du pouvoir sans avoir de
bilan à assumer, voilà une ambition inspirée du système ! Un comble.
C’est pourquoi le Parti des Musulmans de France appelle ses électeurs à
ne pas apporter leurs voix à ces trois candidats. Libres à chacun de
choisir entre les autres postulants, sans perdre de vue les
candidatures satellites de Buffet, Voynet et Besancenot : alliés du PS
et celle du mythomane De Villiers : allié de l’UMP.
Mohamed Ennacer Latrèche,
Président et candidat aux législatives 2007 à Strasbourg III*
7 avril 2007
Notes
*(Robertsau, Cronenbourg, Hautepierre et Shiltigheim, Bischheim, Hoenheim)
Site web du PMF : [color=#0000ff]www.p-m-f.org
E-mail : [email][color:54dd=#0000ff:54dd]p-m-f@ifrance.com[/email]
Bureau national : PMF – BP 10083 – 67067 Strasbourg–Cedex
Tél : 03 88 27 16 80
Paris 06 99 56 23 63
Lyon 06 23 94 43 91
http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EEZyllAlZuXZRgoeJl.shtml
__________________
"Aimer à perdre la raison" - ARAGON
Le Parti des Musulmans de France, qui
s’est abstenu de présenter une candidature illusoire à la
présidentielle de 2007, publie le communiqué suivant en guise de
consignes de vote.
L’élection présidentielle de 2007 est un rendez-vous
politique déterminant pour l’avenir de la France. Elle opposera douze
candidats validés par le Conseil constitutionnel. Le « système » ne
permettra l’accès à la magistrature suprême qu’à l’un des trois
candidats suivants : Nicolas Sarkosy, Ségolène Royal et François
Bayrou. Ils ne sont ni de droite, ni de gauche et ils n’apporteront
aucune solution aux défis que notre nation aura à relever. Pour s’en
rendre compte, il n’y a qu’à constater le cynisme avec lequel chacun
aborde sa campagne électorale et observer les moyens qu’il déploie pour
être, coûte que coûte, le nouveau locataire du palais de l’Elysée.
Le candidat dit de l’UMP, très réputé pour ses dérives et ses excès,
est sans conteste le plus dangereux de tous. Sa haine viscérale pour
tout ce qui est faible, donc « inférieur », révèle à quel point il
reste un personnage fragile. Le Ministère de l’intérieur qu’il a
tardivement quitté aura été son meilleur soutien pour combler ses
nombreuses lacunes, liées pour l’essentiel à sa peur d’un nouvel échec.
Sans retenue, il ose parler d’identité, lui qui est fasciné par un
certain Bush, un autre fragile aux mains souillées de sang et avec
insolence, il s’en prend aux immigrés, lui le naturalisé de parents
hongrois dont l’un et le fils d’un Grec.
Le plus inquiétant est la liste des ralliements autour de sa personne.
Ils sont politiciens, journalistes, écrivains, intellectuels et
artistes de gauche, de droite et de nulle part, tous unis, telle une
tribu autour de leur chef pour le soutenir avec leurs tripes. Sa
victoire, censée faire avancer leur cause commune, explique
l’admiration qu’ils vouent à leur leader qu’ils n’hésitent plus à
présenter comme étant le « sauveur » de la France. De quoi ? On a du
mal à l’imaginer.
En réalité ce « messie » n’a qu’un objectif : concrétiser le programme
occulte qu’il a concocté avec les siens. En retour, il saura les
gratifier. La République - depuis la Révolution - est aussi une
monarchie qui ne dit pas son nom.
Quant à la candidate du PS, réputée pour son arrogance et ses méthodes,
elle est loin d’apporter les changements que le pays attend. Pas plus
que les « éléphants » de son clan, véritables gardiens de l’idéologie
girouette d’un parti qui ne doit sa survie qu’à ses fabuleux moyens
financiers, fruits de l’héritage d’un passé sauvé par une auto-amnistie
qui en dit long sur des méthodes plus proches de la mafia que d’un Etat
de droit. Ces faux socialistes ont toujours eu un faible pour l’argent,
la richesse est aussi leur chasse gardée. Avec de tels antécédents, ils
n’ont pas de scrupules pour solliciter les voix de gauche et venir
appliquer, une fois revenus aux affaires, une politique de droite.
Dans ce contexte, leur candidate ne peut que servir de repoussoir pour protéger le pays d’un sarkosisme encore plus dévastateur.
Reste le candidat anti-système, du système ! François Bayrou. Gonflé
par les sondages un temps, il ressemble aux papillons qui ne vivent
qu’une saison. Si le système devait lui ouvrir les portes du pouvoir,
il se renierait une énième fois. L’opportunisme et l’hypocrisie, une
culture politique très centriste, ont bien fermenté chez cet
agriculteur agrégé qui se permet - sans toupet - de vomir un système
qui l’a si bien engraissé, trente années durant. Loin d’être un
révolutionnaire, ce prétendu modeste sait qu’il aura besoin du système
pour exercer le pouvoir, de même qu’il n’ignore pas que son élection
apporterait au pays plus d’incertitudes que de réformes. Quant à la
cohabitation à laquelle il appelle déjà, elle augure de l’instabilité
dans laquelle il compte plonger le pays. Ce serait alors une
cohabitation voulue et non subie, qui ferait de ce centriste tout
terrain un responsable non coupable. Rêver du pouvoir sans avoir de
bilan à assumer, voilà une ambition inspirée du système ! Un comble.
C’est pourquoi le Parti des Musulmans de France appelle ses électeurs à
ne pas apporter leurs voix à ces trois candidats. Libres à chacun de
choisir entre les autres postulants, sans perdre de vue les
candidatures satellites de Buffet, Voynet et Besancenot : alliés du PS
et celle du mythomane De Villiers : allié de l’UMP.
Mohamed Ennacer Latrèche,
Président et candidat aux législatives 2007 à Strasbourg III*
7 avril 2007
Notes
*(Robertsau, Cronenbourg, Hautepierre et Shiltigheim, Bischheim, Hoenheim)
Site web du PMF : [color=#0000ff]www.p-m-f.org
E-mail : [email][color:54dd=#0000ff:54dd]p-m-f@ifrance.com[/email]
Bureau national : PMF – BP 10083 – 67067 Strasbourg–Cedex
Tél : 03 88 27 16 80
Paris 06 99 56 23 63
Lyon 06 23 94 43 91
http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EEZyllAlZuXZRgoeJl.shtml
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"La faim la fatigue et le froid,
Toutes les misères du monde,
C'est par mon amour que j'y crois
En elles je porte ma croix
Et de leurs nuits ma nuit se fonde."
Toutes les misères du monde,
C'est par mon amour que j'y crois
En elles je porte ma croix
Et de leurs nuits ma nuit se fonde."
"Aimer à perdre la raison" - ARAGON